jeudi 16 juillet 2015

Le verre à demi plein.

Le verre à demi  plein.
            J’ai des attaques de tristesse mais je garde le cap sur le verre à demi plein. Les enfants soldats, c’est triste, je n’accepte pas. C’est intolérable, barbare. Mais ceux qui les manipulent ne me manipulerons pas, moi. Tout en critiquant cette stratégie, je persiste à cultiver ma joie.
            Que cela signifie-t-il pour moi?
            Il y a le livre de Norman Cousins La volonté de guérir, où il raconte qu’il s’est guéri d’une maladie en se faisant rire souvent. Puis il a écrit un livre plus scientifique résumant sa vie intellectuelle : La biologie de l’espoir, qui montre à cultiver les émotions positives. Le récent livre Le cerveau de Boudha de Rick Hanson précise davantage. J’aime.
            Je suis à l’étude de la science de la joie au service du goût de soi, qu’a développée le philosophe André Moreau. Pour moi, c’est mon père qui a instillé en moi la soif de la joie, de l’appréciation, de l’émerveillement. Je le continue.
            Mais lorsque je parle de verre à moitié plein, ce n’est pas de cela que je cause…
            La philosophie, c’est des mots. Je parle ici de l’architecture, celle des artefacts, celle des sans mots, celle de Buckminster Fuller, condensée et expliquée en résumé dans son livre Critical Path, datant de 1981.
            Je trouve un écho plus moderne, plus xx1 ième siècle, dans le livre de Bertrand Piccard : Changer d’altitude ainsi que dans celui de Michel Bauwens : Sauver le monde vers une économie post-capialiste avec le peer-to-peer.
            Focus : Fuller dit que 60 % de l’Humanité vit mieux que les rois de 1895. C’est le résultat des progrès dans l’art de faire plus avec moins, mais découlant de l’acte inconscient de faire les bonnes choses pour les mauvaises raisons. Pour que le 40% qui reste puisse vivre bien aussi, il y a un plan, à exécuter volontairement et consciemment, expliqué en anglais dans Critical Path et en français dans Le manuel d’instruction pour le vaisseau spatial terre. ( 1969).  Alors, ce sera faire la bonne chose pour la bonne raison. Tout le monde vivra mieux. Au moins un exemple: l'atmosphère sera propre et les maladies cardiaques seront grandement diminuées, dit le livre Planète Coeur, appuyé par ce livre: Toxique planète.
            Je viens de lire Chonsky : Le bien commun, où il encourage à exprimer sa dissidence. Il faut en effet, cesser d'utiliser le pétrole; l'Humanité qui va travailler gaspille 19 quadrillions de dollars de pétrole par jour,ce compe d'épargne énergétique. selon les calculs de Fuller, de 1981. Il faut renverser cet ordre des choses anti-naturel, comme l'explique Critical Path. Il faut bâtir la nouvelle réalité, le Succès et le bonheur de l'Humanité, en combattant la réalité morte.
            C’est ce que je fais ici, à ma manière. Si vous en avez le goût, je vous encourage à lire les références que j’ai montrées et à mettre votre grain de sel personnel pour faire pencher la balance pour le PZIT et BIB! ( pauvreté zéro international et le bonheur international brut).
Csj 19-6-07-2015
           
           

            

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