dimanche 16 octobre 2011

Un projet: tout est à confirmer. C'est une suggestion.

Boucherville, le 11-10-2011
Un PROJET:
Pour une santé planétaire et individuelle: on embarque!
- Motivation : Un article du Devoir du 5 octobre annonçant le début de l’exploitation du pétrole dans le Golfe du Saint- Laurent, par des plateformes pétrolières.
Quarante personnes ont réagi à l’article; j’ai réagi.

- Objectif : s’informer, partager de l’information, réseauter pour agir ou réfléchir; devenir participant à des " cercles de résilience" .
- Conférenciers :
- . François Reeves, cardiologue, auteur du livre Planète Cœur. Titre : Dégradation de l’environnement, maladies et système de santé post-pétrolier.
- . Réal Reid : ingéneur, co-auteur de L’éolien au cœur de la révolution énergétique, acteur du film Chercher le courant.
Titre : La souveraineté énergétique, comment.
- . Robert Béliveau, médecin, professeur en gestion du stress . Titre : S’arrêter et méditer!
- . À confirmer
Titre : Le modèle des Villes en transition et Boucherville en transition.
- À confirmer
- Titre : Les comités des Villes en transition, de Totnes au Québec pour une décroissance conviviale.
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- Dîner : communautaire, genre « potlock ».
- Après-midi :
- Film Chercher le Courant et discussion avec Réal Reid et le public.
- Réseautage : formation de comités selon le goût : énergie, alimentation, transport, habitation, santé, éducation, arts.
- Arts : présents toute la journée, en tant qu’ambiance.
- Soirée : Une manifestation artistique. Musique ou pièce de théâtre avec l’aide d’un metteur en scène.

- Organisation : trois organismes collaborent et mettent leurs forces en commun : CIEL, BET, ENB. ( peut-être la Table des énergies vertes aussi).
Claude saint-jarre

samedi 8 octobre 2011

table ronde sur les énergies alternatives

ALTERNATIVES AUX ÉNERGIES FOSSILES.
Le 10 septembre , il y a eu une “ Table ronde sur les énergies vertes », organisée par le regroupement citoyen d’Otterburn Park-Gaz de schiste . Le maire de Saint-Hilaire a souhaité la bienvenue. Le député Pierre Curzi était présent. Les conférences seront disponibles sur « You Tube ».
Pour une suite, je propose:

- Co-créons une ÉCORÉGION. Cette idée a été développée par Emmanuel Bailly et comporte des périmètres et indices de souveraineté alimentaire.
- Adoptons partout la « Politique alimentaire » que le groupe Sécurité alimentaire Canada a construite démocratiquement et passons d’une agriculture centralisée et fragile, à base de pétrole et d’OGM, où on ne sait pas ce qu’on mange, à une agroécologie, dont Olivier de Schutter, rapporteur aux Nations Unies sur la souveraineté alimentaire, dit qu’elle est la « meilleure méthode ». Créons donc une ÉCOLE D’AGROÉCOLOGIE démocratique et décentralisée.
- Donnons-nous un CONSEIL RÉGIONAL POUR UNE POLITIQUE ALIMENTAIRE .
- En s’inspirant de l’Institute of science in society, créons des dizaines de « FERMES VISIONNAIRES », des COOPÉRATIVES, reliées par un monorail électrique, qui produiront de la nourriture et de l’énergie, illustrant sur le plan de l’agriculture, l’idée de l’économie circulaire, où un déchet sert de ressource ailleurs. Il pourrait y avoir un restaurant, une auberge, un centre de santé post-pétrolier, un centre d’enseignement de la communication non-violente, incorporés.
- Préparons avec la SANTÉ PUBLIQUE , une ADAPTATION préventive dans tous les domaines au pic du pétrole. Multiplions les Villes et villages en transition. Le site Internet : www.villesentransition.net guide.
- Occupons-nous non seulement de cette transition qu'on pourrait qualifer de transition extérieure, mais aussi d'une transition intérieure, dont la méditation est un aspect. Le livre de Carolyn Baker: Navigating the Coning Chaos, A Handbook on Inner Transition, donne d'autres exemples. Pour l'instant, il n'y a pas de traduction.

Pour info : www.otterburnschiste.blogspot.com
Claude Saint-Jarre stjh@videotron.ca

mercredi 5 octobre 2011

Pour un paysage sonore agréable

Aujourd'hui, ce 5 octobre 2011, j'attendais l'autobus 80 au terminus d'autobus de la Rive-Sud. Tout près des sièges, il y a un énorme moteur-ventilateur qui fait un bruit d'enfer depuis des années. Et il y a des années que je m'en plains, intérieurement et , je crois me souvenir, officiellement, une fois.
Pourquoi se plaindre? Il y a bien des solutions personnelles comme se mettre des bouchons dans les oreilles. Mais notre société est tout entière trop bruyante. On ignore le fait, on ne se plaint pas, et on devient peu à peu de plus en plus sourds.
J'ai lu la semaine dernière un bon livre en ce sens que je vous conseille: Le paysage sonore. J'ai oublié le nom de l'auteur, canadien par ailleurs. Le philosophe Schopenhauer se plaignait, y ai-je appris, du bruit du claquement de fouet sur les chevaux, qui empêche de penser; sans doute qu'il y avait aussi de la compassion dans ce regard.
À propos de plaintes: la méditation de la pleine conscience suggère, pour notre propre santé de regarder ce qui va bien. Je veux bien, mais la plainte a encore sa place. Toutefois, il y a tellement de choses qui ne tournent pas rond, ces temps-ci, qu'il faudrait que se plaindre soit un travail à temps plein!!
Par exemple, le Devoir annonce qu'il y aura de l'extraction pétrolière dans dix ans dans le Golfe Saint-Laurent. J'ai réagi en me disant contre, en me servant entre autre des arguments du cardiologue François Reeves, dans son livre Planète Coeur, qui fait état de liens entre la détérioration de l'environnement et de diverses maladies et des maladies carciovasculaires; ces dernières, surtout par le biais de la combustion de carburants fossiles.
Bon, je viens de parler de trois problèmes et de mes réactions. Ça m'a fait du bien!
Cette phrase de Blaise Pascal est-elle encore d'actualité?: Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans une chambre. ( sans internet en plus)Si j'avais pratiqué ceci aujourd'hui, je serais ignorant du problème de l'extraction du pétrole dans dix ans dans le Golfe, de trop de bruit au terminus d'autobus et je n'aurais pas passé une heure à réagir par l'écriture.
Suggestion: demandez à l'Unesco que le Golfe du Saint-Laurent soit déclaré Patrimoine Mondial. Puis, avec Albert Jacquard, gardons le pétrole pour les futurs humains, ils en sont les propriétaires...

dimanche 2 octobre 2011

le pic du pétrole et la santé publique ( en anglais)

by Mike Field


It was the easy oil—that’s what fueled our prosperity.

Economists associate the availability of abundant inexpensive energy with economic growth, suggesting that the modern era’s rising tide of global wealth—and health—was borne up largely on a sea of cheap oil. “We’ve been living for 150 years on a fossil fuel bubble,” is how Stuart Chaitkin, MA, a retired energy policy analyst and senior associate in Environmental Health Sciences (EHS), describes the current situation. “You can’t just simply replace oil for many of its uses. Oil is the world’s master resource.”

But what happens when the supply of that master resource can no longer keep pace with demand? Despite tremendous increases in demand for oil during the economic boom from 2005 to 2009, world production during that period was generally flat, leading to the record-breaking $147 per barrel cost of oil reached in July 2008. This experience exemplifies the concept of “peak oil,” the idea that because petroleum is a finite nonrenewable resource, at some point maximum possible production will be reached—and thereafter the number of barrels of oil pumped worldwide each year will decline steadily, with a resulting significant rise in prices.

Oil was cheap only so long as it was plentiful and easy to extract, but in tandem with growing demand from emerging economies like those in China and India, more and more of remaining “non-conventional oils” are locked in tar sands or buried deep under the ocean’s bed. This tough oil will be costly oil, presenting enormous challenges to everything from transportation to food production—and ultimately, to global public health.

“There are no solutions, only responses,” says EHS professor Brian Schwartz, co-director of the Program on Global Sustainability and Health and a nationally recognized expert on the health consequences of peak oil. “You can deny climate change forever, but you can’t deny the rising price of oil. The limitations to ever-increasing production are a geologic reality.”

The coming era of petroleum scarcity is “probably the most underreported issue of our time,” says Schwartz, MD, MS. He and Bloomberg School colleagues have spent much of the past decade looking at how ever-more-costly petroleum will affect some of the key drivers of public health, and what strategies we should adopt now to minimize future health consequences. (Schwartz and Cindy Parker, MD, MPH ’00, an EHS assistant professor, were guest editors for a special issue on peak oil’s far-reaching impacts on health in September’s American Journal of Public Health.) Schwartz says the immediate challenge is simply making people aware of what’s headed our way: “Until we acknowledge the problem, there will be no will to develop responses.”

The five key areas that follow illustrate the potential health fallout of petroleum scarcity.

1. Economic Instability

The Japanese coined a word—oirushokku or “oil shock”—for the wrenching consequences of the 1973 OPEC oil embargo that caused the price of oil to quadruple to $12 a barrel. Sudden large increases in the price of oil present an enormous economic challenge; as the Japanese understood, they shock the system. Some economists claim spiking oil prices caused four of the last five global economic recessions. And, says Parker, co-director of the Program on Global Sustainability and Health, economic decline is bad for public health: “Health outcomes decline when the economy declines. People make ends meet at the expense of their health, and societies reduce health benefits when budgets are tight.”

At the extreme of this correlation is the former Soviet Union which, since the fall of communism and the collapse of its economy more than two decades ago, has experienced an increase in mortality and some kinds of morbidity unprecedented for an industrialized nation at peace. At the peak of the economic crisis in the mid-1990s, the country was experiencing its highest peacetime death rate in the 20th century; the incidence of tuberculosis, brucellosis, diphtheria and syphilis had increased dramatically and in the case of the last two diseases more than doubled. The country also witnessed the return of epidemic diseases such as cholera and typhoid fever. Ironically, it was the wealth generated by Russia’s vast oil and natural gas reserves that eventually enabled the country to reverse its economic decline—though health indices for Russians continue to lag far beyond those of their European neighbors.

Budget shortfalls brought about by recession and declining government revenues will inevitably have a strong effect on research funding as well, threatening the next generation of advances in medicines, vaccines, preparedness and knowledge that could most effectively advance the global public health agenda.

2. Food Scarcity

From fossil fuel–derived fertilizers and pesticides, to diesel-powered tractors and water pumps, to an elaborate long-distance transport system, oil is something that—in a very real sense—we eat. Because modern agriculture has become so dependent upon oil, petroleum scarcity leads to significantly higher food prices and outright shortages, and was at least partially responsible for the global rice shortage of 2008, when oil reached record high prices. “The poor are exquisitely sensitive to food prices,” notes Peter Winch, MD, MPH, International Health professor. The United Nations Food and Agricultural Organization estimates that more than 900 million people worldwide are undernourished, a number more than 100 million greater than before the oil-fueled food price increases that began around 1997. Increased food insecurity—and even outright famine—would likely result from any additional large increases in the price of oil.

“I think food is the biggest issue of all,” says Melissa Poulsen, a PhD student in International Health, whose research is focused on identifying populations most vulnerable to global petroleum scarcity and how best to help them. “Any disease is irrelevant if you are without a secure food source. Good nutrition is critical to health; you have to eat.”

In yet another ironic twist, those same forces in developed nations might tend to favor improved nutrition. As rising oil prices make it prohibitive to transport highly processed (read: unhealthy) foodstuffs over long distances, and consumption declines, people may be forced to turn to more locally based, sustainable agriculture.

3. Clean Water Decline

In some areas, petroleum is an ingredient necessary to the availability of clean water. A European Union report from earlier this year called attention to looming water shortages in the Middle East, which until now has used its access to abundant cheap petroleum to produce plentiful water for its citizens. Libya has spent $20 billion pumping water from deep beneath the desert in so-called “fossil water” reservoirs that cannot be replenished; no one knows how much longer they will last. Saudi Arabia has seen water use surge by 500 percent since 1985. Increasingly, all countries in the region are turning to desalination; more than 1,500 plants now line the Gulf and the Mediterranean and provide much of the drinking water for North Africa and the Middle East—and two-thirds of the world’s desalinated water.

Meanwhile, the world’s regions most desperately short of clean water—Asia and Africa—are making plans to greatly increase their use of desalination. But the energy to power these plants typically comes from oil, and for those countries that have to import petroleum—such as Egypt, which will soon turn from a net exporter to importer as its oil fields play out—the cost of water could begin to reflect the cost of oil. In Saudi Arabia, 28 desalination plants provide 50 to 70 percent of the current drinking water supply, using 1.5 million barrels of oil per day, notes Cindy Parker. “Oil exporting nations may soon decide to reduce their exports to importing countries in order to use their oil for vital national purposes such as water desalination,” she says. “Importing nations, such as the U.S., will be especially vulnerable because we rely so heavily on oil exports to run our entire economy.”

4. Transportation Challenges

“The transport system is the first to feel the effects of petroleum scarcity and increasing price,” says Schwartz. This includes the complex supply chain for drugs and medical equipment that often spans countries and even continents. In developing countries, the World Bank has found that high cost and limited availability for patient transport is a major impediment to reaching the Millennium Development Goals for maternal and child mortality. Energy insecurity and costs could also hinder or even prevent international relief organizations from responding rapidly and effectively to humanitarian emergencies. Fundamentally, all efforts in disaster relief are giant challenges in logistics and transportation; every additional dollar spent on fuel is that much not spent on the food and clean water, shelter and medicines that must be delivered to the scene of a disaster.

In developed nations, routine medical delivery could be affected. Most petroleum used in the U.S. for instance, is for transportation, accounting for 70 percent of all oil use in 2008. Moreover, the U.S. transportation system would be at a standstill without oil; more than 90 percent of all transportation sector energy is derived from oil. America’s centralized medical centers require both patients and workers to transport themselves to the site, often over considerable distances. It goes without saying that ambulances, emergency airlifts and public health outreach all depend on petroleum.

Many researchers have argued that it is only cheap energy that has allowed the incredible specialization we see in our health care system. According to Schwartz, in an era of tough oil, “communities are going to have to reorganize and if they do not, we will see the same difficulties in providing care to persons in suburbs in the future that we see today in providing care to those in rural areas—a very well-known problem. Most patients get to the doctor by using petroleum; if that petroleum is very expensive, something will have to change or else there will be no doctor visit.”

5. Environmental Effects

Extracting and processing the “tough oil”—oil from beneath the sea, or tar sands, or shale deposits or the vast supplies of heavy oil known to exist in Saudi Arabia—involve using ever more energy-intensive technology to produce each additional barrel of oil. Increasingly, remaining oil reserves will be in the form of this “nonconventional oil” that is both expensive and dirty. “It takes a huge amount of energy and effort to produce and process this oil, and environmentally it can be tremendously damaging,” says Stuart Chaitkin. U.S. oil production illustrates the law of diminishing energy returns as oil resources play out. In 1930, the energy return on energy invested (EROEI) in U.S. oil fields was 100:1; that dropped steadily to 40:1 by the time U.S. domestic oil production peaked in 1970. Today that figure is down to 14:1 and it’s expected to continue to decline. “Nonconventional oil sources are dirty,” says Cindy Parker simply, “and if we make the choice to exploit them heavily we can actually accelerate carbon emissions and global warming, along with the many negative health consequences that will bring.”



Editorial Notes


Re-posted with the kind permission of Johns Hopkins.
-BA


Original article available here

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The Conversation



“But communication is two-sided - vital and profound communication makes demands also on those who are to receive it... demands in the sense of concentration, of genuine effort to receive what is being communicated. ”

—Roger Sessions

View EB

samedi 1 octobre 2011

nouveau livre: La reconquête du Québec. ( économie locale et régionale)

En librairie le 27 septembre 2011
La reconquête du Québec
Esdras Minville et le modèle gaspésien
Roméo Bouchard
Collaboration spéciale de Jean-Claude Côté
Témoignages de James-Henry Atkins, Alan Côté, Bob Eichenberger, Micheline Pelletier.
Roméo Bouchard est un fervent défenseur de la démocratie locale, de la décentralisation et d’une occupation du territoire consciente des richesses et différences de chaque région du Québec. Après le succès de Y a-t-il un avenir pour les régions? où il dénonçait les politiques successives de développement régional basées sur les centres urbains, causant le déclin des régions, il offre dans La reconquête du Québec une vision pour le Québec de demain, où le territoire serait au centre de la restauration économique et où les communautés reprendraient le contrôle des ressources naturelles et de leurs richesses.
Cette approche s’appuie sur une étude approfondie de l’oeuvre d’Esdras Minville, pêcheur, agriculteur, bûcheron et économiste gaspésien, directeur des HEC de 1938 à 1962, et surtout initiateur d’une expérience unique, la Colonie de Grande-Vallée. Animé par le volonté de ne plus confier les ressources naturelles aux compagnies étrangères, il instaure en 1938 un modèle coopératif d’agroforesterie en basant ses actions sur les particularités du milieu. Les familles qui s’y installent vont alterner pêche, agriculture et exploitation de la forêt voisine, créant une complémentarité par ces travaux saisonniers et une solidarité sociale. L’installation de la mine de cuivre de Murdochville et les déplacements de population liés à l’industrialisation du Québec dans les années 1960 achèveront complètement cette colonie qui avait pourtant tout pour réussir.
Pour Roméo Bouchard, nous devons tirer de nombreux enseignements de la pensée d’Esdras Minville qui reste visionnaire et inspirante, car elle offre plusieurs clefs pour le Québec de demain. L’auteur propose de redéfinir les fondements de l’État québécois, ses institutions démocratiques nationales et territoriales. L’État devra jouer un rôle de planificateur et de soutien des différentes communautés, dans un esprit de réappropriation des ressources naturelles, et ainsi sortir d’un modèle de développement qui favorise les grandes entreprises et détruit les économies locales ainsi que les écosystèmes.
Réaliser la prise en main locale et régionale de l’exploitation des ressources naturelles par et pour le bien des communautés, au moyen du modèle coopératif, voilà le modèle hérité de Minville qu’il convient de restaurer. Enfin, la planification du développement devra réconcilier économie, écologie et équité sociale, en collaboration avec les Premières nations, pour mettre fin à la mainmise d’une oligarchie sur les richesses.
Un programme ambitieux mais plus qu’inspirant. Ponctué par le récit d’acteurs contemporains qui témoignent de leur réussite en Gaspésie et de témoignages des membres de la colonie d’Esdras, ce livre nous donne les moyens de penser et rêver le Québec de demain qu’il faudra reconquérir pas à pas.
Roméo Bouchard est auteur, il a pratiqué le journalisme, l’agriculture biologique, l’enseignement et le développement local, il est co-fondateur et ex-président de l’Union paysanne, il est l’auteur de Plaidoyer pour une agriculture paysanne, Y a-t-il un avenir pour les régions? et a dirigé les ouvrages collectifs L’éolien, pour qui souffle le vent? et Libérer les Québecs (Écosociété).
Source : Élodie Comtois 514-521-0913, poste 21