lundi 27 mars 2017

Voir d'en haut ( comme Mozart)

Voir les choses d’en haut. ( comme Mozart!)
            C’est le livre La pensée de Mozart de Jean-Victor Hocquard qui explique que Mozart voyait les choses d’en haut… et que nous ferions bien de faire pareil si nous voulons survivre comme Humanité, à mon avis.
            Cela rappelle peut-être le livre du philosophe André Moreau À  la verticale du monde,  bien que,  paradoxalement,  il n’y pas de parallèle ni de perpendiculaires dans le monde, comme le montre Buckminster Fuller.
            La grisaille en philosophie s’est si bien propagée que la société planétaire en est rendue à discuter de sa survie menacée de plusieurs manières, que ce soit par cataclysmes naturels, humains ( la monarchie thermonucléaire) ou tout simplement par perte d’infertilité reliée à la pollution chimique et ou électromagnétique, ou encore par siphonnage à l’infini des ressources financières et démocratiques dans un trou noir faustien.
            Le pessimisme Heidegerrien axé sur l’idée que l’homme est un être-pour-la-mort ajouté au froid sartrien pour qui la vie est absurde jettent un froid dans le dos de la noosphère,  qui se charge de l’imprimer avec plaisir  dans le code génétique de chaque individu.
                                               La grande rétorquation!
            Dans sa philosophie toute personnelle et non traditionnelle- bien qu’elle soit accueillante de quelques influences- André Moreau pense que l’homme est plutôt un «  être-pour-la-fête », une  «  lumière pensante ».
            Buckminster Fuller a rétorqué chronologiquement avant Moreau que «  le destin de l’homme est de réussir et que le destin d’Univers est d’entretenir cette réussite » et que,  par conséquent, la vraie  vocation de l’homme est anti-entropique ou syntropique, au service de la conservation  de l’intégrité de la régénération éternelle d’Univers.
            Pourtant, Moreau, en ajoutant que nous pouvons opérer l’infini, donne un cadre plus vaste, qui permet d’assumer la vocation fullérienne, selon moi.
            De plus, en précisant que si l’Univers est absurde, eh bien, y’a rien là, nous pouvons y donner un sens et ainsi surmonter le néant dans la joie; nous sommes «  décideurs du sens », ce qui coupe enfin l’herbe sous le pied du pessimisme ambiant en mettant entre nos mains la responsabilité de notre destin.
            À nous de nous créer un monde magique à notre goût, en pensant beaucoup et bien, car , selon cette philosophie qui est un «  monisme imamnentiste autoégocratique, immatérialiste, intussuceptif », : l’homme ignore qu’il est le créateur de la réalité et que celle-ci obéit à ses pensées; la connaissance a à bâtir ce qu’elle a à connaître; la pensée est un inconnu plus vaste que l’inconnu qu’elle prétend révéler. ( dixit le Tome 1 du Grand Traité sur l’immatérialisme)
            Alors, ayons en vue le «  jardin des délices » au lieu de la «  vallée de larmes » et il n’y aura pas de fin du monde.
Claude Saint-Jarre, 27-03-2017


mardi 7 mars 2017

Rêve

RÊVE!
Dans la nuit du 6 mars, un rêve assez court mais très parlant en significations, peut-être!
En effet, c’était un jour d’élections fédérales et j’ai dit à un ami : « C’est aujourd’hui que le Québec sort du cadre fédéral » Puis il y a eu une belle pièce musicale jouée par trois personnes dont un qui jouait une sorte de guitare originale. Et je ne me souviens plus du reste!
Ce matin, je commence une réflexion post onirique, ainsi : et si nous étions indépendants?! Quelle sorte de Constitution aurions-nous? Quelles sortes de relations internationales aurions-nous? Quelle serait notre comportement avec l’énergie. Que seraient nos relations inter-régionales? L’état de la langue française? Que deviendrait l’indice du bonheur? Comment transformerions-nous la société de consommation? Nous aurions 50 milliards de dollars de plus à ajouter au budget du Québec. On s’en servirait comment? Et la santé, on fait quoi en rapport avec l’épidémie invisible de maladies chroniques causée par l’environnement dégradé? De quel genre de système d’éducation on veut? Les aîné€s pourraient-ils, elles avoir droit à de l’éducation permanente gratuite à quel que niveau que ce soit?
Les soins dentaires gratuits?
C’est très bien d’imaginer par anticipation la sorte de société idéale qu’on veut, que ce soit dans le cadre fédéral ou hors de ce cadre.
On est prêts!

dimanche 5 mars 2017

" Boire" local sans pétrole

http://www.lapresse.ca/actualites/environnement/201703/05/01-5075727-gaz-de-schiste-les-ecologistes-preparent-un-blitz.php

vendredi 3 mars 2017

Pétition pour les bébés.

https://www.change.org/p/candidats-%C3%A0-l-%C3%A9lection-pr%C3%A9sidentielle-2017-aucun-bebe-ne-doit-naitre-pre-pollue

jeudi 2 mars 2017

Guide de transition énergétique

http://transitionnetwork.org/wp-content/uploads/2017/02/The-Essential-Guide-to-Doing-Transition.-Le-Guide-Essentiel-de-la-Transition..compressed.pdf

mercredi 1 mars 2017

La tradition est périmée, désuète, obsolète.

La tradition est périmée, désuète, obsolète.
                                               Qui a dit cela?
-         Abdennour Bidar, philosophe.
-         Buckminster Fuller, scientiste-artiste-poète.
-         André Moreau, philosophe
-         Roderic Gorney, psychiatre futuriste
                                   Enjamber la tradition comment?
-         Bidar : Créons un projet de civilisation, qui met de l’avant l’humain créateur; ce sera une révolution spirituelle fraternelle.
-         Fuller : Il y a assez de ressources pour tout le monde. Créons le «  succès de l’Humanité » pacifiquement, joyeusement, écologiquement. J’ai un plan.
-         Moreau : Constitutions une Humanité Êtrique et au nom du goût de soi, inventons-nous chacun€ une identité radicale êtrique.

-         Gorney : nous avions des stratégies pour nous adapter à la rareté depuis la nuit des temps; aujourd’hui, l’abondance universelle et la paix sont possibles mais il faut se donner des stratégies nouvelles par anticipation et imagination : se donner un sens de l’identité, de l’estime de soi, une définition nouvelle de l’amour, du travail, du jeu, de la spiritualité, afin de nous donner la force de se construire ce monde. 01-03-2017


Fiou! Il y a de la " suite" dans les idées pour la suite du monde!

Fiou, il y a de la “ suite” dans les idées, pour la suite du monde!
            En 1970, Buckminster Fuller est le premier qui a accouché d’une nouvelle Option pour l’Humanité, celle de la capacité de se donner une belle qualité de vie universelle, sans s’entretuer ni nuire à l’environnement pour y arriver.
            L’Option n’a pas encore été réalisée. Nous avons donc 45 ans de retard. Nous avons un problème de transfert de la connaissance, ce qui est un problème d’ergonomie.
            Pour ce scientiste-artiste-architecte-poète, la richesse, c’est l’énergie plus le savoir. L’énergie ne peut décroître, le savoir ne peut que s’accroître, donc la richesse augmente toujours.
            Pour lui, aussi, l’Univers au complet est technologie.
            Il favorisait l’automation totale et l’humain assumant sa vocation anti-entropique, recevrait une bourse à vie pour étudier ce qu’il aime.
            Il avait inventé une nouvelle carte géographique, nommée «  dymaxion map » qui montre la terre comme une île entourée d’un océan d’air et d’eau. Sur cette carte, il a fait le design d’un réseau mondial de transport d’électricité. Il n’y aurait pas beaucoup plus de connexions que maintenant. La première se ferait au détroit de Béring. Une fois réalisé, le réseau serait à l’avantage de tout le monde et au désavantage d’aucun. L’hémisphère au repos, la nuit, écoulerait son surplus d’électricité à l’hémisphère en activité.
            Une fois construit, Fuller envisageait la transition du système de comptabilité basé sur l’argent à un nouveau système basé sur l’énergie. Puisqu’elle est abondante et inexhaustible, nous serions tous riches.
            Il est décédé en 1983.
            J’ai constaté qu’une nouvelle génération prend la relève, a de la suite dans les idées, pour la suite du monde.
            En effet, Idris Aberkane et Gunter Pauli sont des leaders à l’avant-garde de la nouvelle vague, qui à la fois convergent  avec le grand-père du futur que Fuller était, pour beaucoup de gens, et divergent aussi.
            Voyons :
            Convergence :  Ils ont la même conception de la richesse, ai-je remarqué. Idris Aberkane, par sa théorie de la connaissance voit la richesse et comment s’en servir. Il pense aussi que la nature est technologie, en décrivant la nouvelle science du biomimétisme. Gunter Pauli est l’homme d’affaires qui met en pratique le biomimétisme en économie.
            Divergences : Ils optent pour le plein emploi et conservent l’argent. C’est leur monde, bravo!
Références :

-         01-03-2017