Stratégie
mondiale de pacification et de bonheurisation.
J’aimerais contribuer au projet d’édification
d’une nouvelle langue universelle de la joie. Parlez-vous anglais? Oui.
Parlez-vous la joie? Oui!
La neuroscience nous apprend que, les
humains, pour survivre, ont un cerveau qui détecte les menaces et les
mémorisent. Elles collent en nous comme du velcro. Les expériences
intéressantes, elles, sont nombreuses et passent presqu’inaperçues. Elles
glissent en nous comme du teflon.
Or, quand il y a une menace, réelle
ou non, que le cerveau détecte, le corps réagit subito presto en émettant de l’adrénaline,
afin de le rendre capable de fuir ou de combattre.
Il est parfois bon de savoir s’il y
a un tigre qui pourrait nous tuer, mais il n’y en a pas la plupart du temps, et
nous pensons trop souvent qu’il y en a. Les médias, nous dit Sonia Lupien, nous
communiquent des peurs . Le cerveau les détectent et les mécanismes de défenses
s’enclenchent… pour rien… ce qui nous fatigue.
Afin de « taking in the good »,
ancrer les bonnes expériences le plus possible, s’imprégner de ce qui est bon,
intérioriser le positif et apaiser le feu en activant le système nerveux
autonome. Rick Hanson et Richard
Mendius, proposent surtout la méditation comme stratégie, la respiration
diaphragmatique, la relaxation, la cohérence cardiaque, etc, dans leur livre : Le Cerveau de
Bouddha.
Cela est bon. J’ai décidé d’essayer
une autre voie.
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Je
me construis une base de mots positifs d’environ 200 mots.
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J’en
fais une liste et je cherche la signification dans le dictionnaire, en notant
tous les synonymes et mots associés.
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Puis,
je refais le même procédé avec les mots trouvés jusqu’à ce que j’en aie de
20,000 à 50,000.
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Je
fais aussi une liste de thèmes joyeux ou merveilleux extraits de la littérature
philosophique surtout à tendance positive.( j’en ai actuellement 2500)
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Une
fois cela terminé, j’écrirai au moins une page par jour avec un mot ou un thème
choisi.
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Je
le ferai pendant quarante ans et j’obtiendrai au maximum 100,000 pages sur la
joie et au minimum 14,600 pages… sur la joie!
Je me suis dit que si toutes les
Nations faisaient la même chose, nous
aurions 100,000 pages X 200 dans cinquantes ans environ. ( je ne compte pas les
dialectes en voie de disparition qui pourraient essayer de survivre en le
faisant.)
Puis, une deuxième période de cinquante ans pourrait être consacrée à l’analyse
des résultats de l’écriture. La philologie pourrait soutenir l’aventure.
Et finalement, une troisième période de
cinquante ans pourrait faire la synthèse et ce faisant, une nouvelle langue
universelle de la joie, découlant de 200 sous-langues de la joie, pourrait voir
le jour.
De la littérature nouvelle en
découlera, du théâtre.
Il est pour moi évident qu’une
pacification et une « bonheurisation » de l’Humanité seront un effet
secondaire de cette création.
Je vous
remercie de votre « attention bienveillante soutenue »!!!
Claude
Saint-Jarre, 20-01-2014.
Je me commente. Pour écrire, je me sers d'une technique enseignée par Gabrielle Rico dans son livre Writing the natural way. C'est facile. Une technique qui fait travailler le cerveau droit dans un premier temps et le gauche par la suite.Le terme qu'elle emploie est " clustering". Allons-y pour galaxier! Le clustering démontre le contenu. Alors, le cerveau gauche met en ordre ce contenu en phrases.
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