Le tarissement des réserves de pétrole, aussi appelé le pic du pétrole, nous fait prendre conscience du fait que l’agriculture est pleine de pétrole.
Nous avons peu de souveraineté alimentaire puisque la plus grande partie de nos aliments vient de longues distances plutôt que d’une agriculture de proximité.
Le pic du pétrole demande une relocalisation de l’agriculture et un réapprentissage de la manière de cultiver la terre de façon écologiquement responsable, pour notre bien.
C’est pourquoi je constate le besoin d’une école d’enseignement de l’agroécologie ou de l’agriculture biologique, afin de former des nouveaux fermiers-fermières, paysans, paysannes d’une part et de leur faciliter l’accès à des terres agricoles dans un deuxième temps. Aussi, le mission de l’école devrait s’inscrire dans la mouvance de construire des écorégions, dans l’esprit d’Emmanuel Bailly, communiqué dans le livre Terre d’Avenir pour un mode de vie durable et le livre de Coline Serreau : Solutions locales pour un désordre global.
Cette école enseigne l’agriculture, le jardinage post-pétrolier et post-OGM, pour le bien de l’environnement de la santé individuelle.
Il ne s’agit pas nécessairement de créer une institution mais de créer des liens de gens intéressés par l’idée ou bien à fournir un service d’enseignement écologique. Éventuellement, même les institutions pourraient acheter ou louer l’expertise mise en commun.
Les personnes à qui je pense pour le moment :
. Michael Brophy d’Aliments d’Ici.
. Un ou une notaire ou avocat(e) à définir.
. Yves Gagnon
. Le RJÉ ( Jean- Jacques Marcil)
. Bernard Alonso, professeur de permaculture
. Mélanie Morel de la fondation RHA
. Patrick Déry.
. ET VOUS? ***Claude Saint-Jarre
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