et mon projet:
Nouveau comité citoyen à Boucherville.
J’informe le lectorat, par la
présente, de l’inauguration d’un « comité de réflexion et d’action sur la
démocratie » en vue de sa restauration.
Ceci est l’objet du Projet
Papineau, un texte fondateur écrit par Roméo Bouchard et qu’on peut
lire à cette adresse : http://mangersanspetrole.blogspot.ca/2015/05/democratie-energetique-passe-par-le.html
Par ailleurs, il y a quelques formes
de démocratie en veilleuse, telles la démocratie familiale, la démocratie
énergétique et la démocratie sanitaire. C’est cette dernière qu’explique le
livre Toxique Planète en faisant prendre conscience d’une énorme
nouvelle épidémie mondiale invisible de maladies chroniques, causée par
l’environnement et qui menace les systèmes de santé, tellement elle coûte cher.
Les Gouvernements en parlent si peu
et même entretiennent l’ignorance, nommée « agnotologie « », dit
l’auteur, André Cicolella. C’est alors aux citoyens à commencer à repenser le
système de santé, de manière écosystémique, en initiant la transition
écologique, ajoute-t-il. Les citoyen€s en sont capables.
À terme, nos discussions mèneront à
l’établissement d’un Gouvernement territorial régional, à un Conseil et une
Chambre de citoyens et à un conseil de santé régional avec participation
citoyenne, ainsi qu’à des éco-quartiers en santé et démocratiques, probablement
soutenus par un nouveau Ministère de la Démocratie.
Si cela vous intéresse, veuillez
communiquer avec moi à cette adresse électronique : stjh at
videotron.ca ou au 450-645-0626 on encore en vous présentant au restaurant
Saint-Hubert , le premier vendredi de chaque mois à
19 :00 hres.
Claude
Saint-Jarre, Boucherville.
Référence :
Le défi des épidémies modernes, André Cicolella.
et:
Pour une participation citoyenne de
quartier.
Il y a une
démocratie familiale exercée par des conseils de famille.
Je sens le
besoin d’une extension et d’une expansion de la démocratie, je la vois d’abord
dans le quartier auquel la famille appartient.
Il pourrait
y avoir un « Conseil de quartier », avec participation citoyenne et
assemblées populaires, pour faire éclore des projets qui seraient sujets à du
financement participatif. Le Conseil de quartier permet de favoriser
l’investissement dans les liens sociaux pour augmenter le capital social mis à
rude épreuve en ces temps d’austérité pour un retour à l’équilibre budgétaire.
Le Conseil
de quartier pourrait être représenté dans un Conseil des citoyens régional et
dans un gouvernement territorial régional citoyen reliés à un Conseil national
de la vie démocratique, dont parle le livre Constituer le Québec, pistes
pour une véritable démocratie.
Dans mon quartier, j’aimerais le début d’un
système de santé de proximité qui pourrait prendre la forme d’une Maison pour la santé ou d’un Centre
de santé communautaire municipal, avec participation citoyenne et budget
participatif qui répond à un appel de projets. En cette ère de l’épidémie
invisible des maladies chroniques, dénoncée par le livre Toxique planète,
ces maladies sont surtout causées par l’environnement qui devient à détoxifier
par une médecine environnementale. Le quartier est représenté dans un Conseil
Régional de Santé, puisqu’Il faut parler du fait que 80% du coût du système de
santé est relié aux maladies chroniques.
J’aimerais
finalement un comité agro-alimentaire pour cultiver le plaisir de jardiner et
de cuisiner pour la santé. L’eau est conservée précieusement dans tout le
quartier, pour une autonomie collective à long terme.
Claude
Saint-Jarre 24-05-2015
et:
Une
Ville-Région/Santé.
À qui de
droit,
Bonjour. Seriez-vous d’accord pour contribuer à créer
une « Maison pour la santé » dans un quartier de Boucherville,
pour inaugurer un modèle de médecine de proximité où la Santé Publique joue un
rôle de soutien et de lien entre le milieu hospitalier et l’éducation à
l’auto-santé, à la prévention de la maladie, à la promotion de la santé ainsi
qu’à la médecine environnementale qui détoxifie l’environnement, dans l’esprit
du livre Toxique Planète?
J’aimerais
un Éco-quartier en santé et démocratique, puisque la médecine environnementale
fait appel à la démocratie sanitaire.
Mon
quartier est un désert médical de santé publique et en capital social.
J’aimerais que cette situation s’améliore.
La
médecine fonctionnelle, comprend la médecine allopathique et accepte les
contributions alternatives, si elles sont complémentaires et compétentes.
C’est
dans cet esprit qu’un tel centre pourrait fonctionner, un centre communautaire
municipal avec budget participatif et projets provenant de la vie citoyenne
discutés en assemblées de quartiers.
Y-aura-t-il
un médecin de quartier, un€ infirmie(re) de quartier?
Examinons
cela ensemble si vous avez le goût.
Je vous
remercie de votre attention,
et:
Monsieur le
Maire,
J’aimerais vous informer que je m’offre à faire du bénévolat
dans mon quartier , le district électoral le Boisé, le district 8, pour aider à
structurer la participation citoyenne.
Je pense qu’il est important de cultiver le capital social,
investir dans les liens sociaux, comme dit
l’économiste Juliet Shor dans son livre Plénitude,
d’ « irriguer les relations humaines qui sont asséchées durant
les années du boom économique ».
Je sais que vous avez déjà essayé de faire un comité de
citoyen en mettant une annonce dans les journaux et que deux personnes
seulement se sont manifestées et que vous avez préféré une manière différente,
par thèmes, tels la commission des aîné€s, mais je pense néanmoins qu’un
ancrage local de la participation citoyenne est valide et possible.
Puis j’ai deux demandes à faire, en cette période de
redéfinition du système de santé publique.
J’aimerais que dans l’esprit du programme PAIR, il y ait une
vigie municipale, exprimée par une enquête qui chercherait à savoir si :
1-
Des citoyen€s de Boucherville n’ont pas de
médecin de famille et n’ont pas de ce fait accès à des soins gratuits, au
système public, pour leurs besoins en
santé.
2-
Des
aîné€s ne peuvent pas se permettre des soins dentaires, faute d’argent. La
santé buccale fait partie de la santé globale et sa négligence coûte cher à
l’État puisque des maladies chroniques en découlent, comme le diabète ou des
maladies cardio-vasculaires, disent les études de la Santé Publique.
Pour terminer, une question :
Les cliniques de médecine privée, bénéficient-elles
gratuitement de l’existence du système de santé public?
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