Une des grandes leçons du bogue de l'an 2000, a été de montrer la trop grande centralisation de la production de l'énergie et de la nourriture, qui a pour conséquences la vulnérabilité des populations, en cas de brisure du système.
Le Québec, l'article précédent le dit, est administrativement trop centralisé. Il en est ainsii pour l'énergie. Voici un exemple récent. La Mine Arnaud à Sept-Îles. J'ai entendu à la radio qu'une des raisons de l'opposition au projet est le risque de glissements de terrains, non loin des lignes principales de transmission d'électricité. Un glissement et... tout le Québec manque d'électricité!! Supposons que ce soit lors de journées très chaudes de l'été ou bien de journées super froides de l'hiver. Des vies sont alors en danger!
Il faudrait là aussi décentraliser la production d'énergie. Mais à ce propos, l'efficacité énergétique prime sur la production et celle-ci de devrait pas se faire sans celle-là.
À l'heure du tarissement des réserves de pétrole, du changement climatique et de l'utilisation de combustibles fossiles pour la production agricole, sous forme de pesticides, d'herbicides et de fertilisants, par ailleurs cancérigènes, dans le transport en plus,( voie les livres: Eating Fossil Fuels et Soil, not Oil)n'aurions-nous pas avantage à créer un système alimentaire alternatif post- pétrolier et post-OGM? Relocalisons l'agriculture avec notre énergie de l'intention- joyeuse!
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