Un très grand pourcentage de nos aliments provient d’une distance de 1500 à 3000 km d’ici. Nous avons abandonné notre souveraineté alimentaire du début du 20e siècle pour nous retrouver en état de vulnérabilité. (voir le livre « Manger local », éd. Écosociété).
Si vous êtes intéressé(e) à participer à reconstruire une lien de proximité avec notre alimentation, soit par le jardinage familial ou collectif , les marchés de proximité, la transformation locale des aliments locaux, la cuisine collective d’aliments locaux, les banques et l’échange de semences, le partage de votre cour pour le jardinage, la lecture alimentaire, la création d’une communauté de nourriture, les projets alimentaires en milieu scolaire, un bottin de ressources alimentaires, l’agriculture soutenue par la communauté, l’éducation du goût, l’éco-gastronomie, l’agriculture urbaine ou péri-urbaine biologique, la plantation d’arbres fruitiers ou à noix, la protection et la valorisation du terroir, le circuit du goût, retrouver les savoirs ancestraux, la gratitude envers les agriculteurs-trices, le compost, la fertilisation des sols, la captation du carbone via l’agriculture, le transport local viable, le régime nordique, la réflexion sur la viabilité de l’agriculture, apprendre à apprendre, l’indépendance énergétique en agriculture et la création d’un système alimentaire alternatif post-pétrolier et post-OGM, les villes nourricières et lentes, veuillez laisser votre nom, num . de téléphnone et/ou adresse courriel. Nous vous rejoindrons pour former un comité agroalimentaire local et citoyen.
Claude Saint-Jarre, pour Boucherville en transition. Ou : comité agroalimentaire de CIEL.
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