À l'heure du tarissement des réserves de pétrole, du changement climatique et de l'utilisation de combustibles fossiles pour la production agricole, sous forme de pesticides, d'herbicides et de fertilisants, par ailleurs cancérigènes, dans le transport en plus,( voie les livres: Eating Fossil Fuels et Soil, not Oil)n'aurions-nous pas avantage à créer un système alimentaire alternatif post- pétrolier et post-OGM? Relocalisons l'agriculture avec notre énergie de l'intention- joyeuse!
vendredi 30 septembre 2011
samedi 24 septembre 2011
manger, oui, mais marcher aussi! Voici la charte de la marche
http://www.walk21.com/charter/documents/international_charter_for_walking_french.pdf
d'énergy bulletin un article sur un projet viable et mes commentaires
http://energybulletin.net/stories/2011-09-24/thoughts-sustainable-human-ecosystem
samedi 10 septembre 2011
propositions à la réunion du regroupement otterburn park énergies vertes
- Créer une ÉCORÉGION avec des “ périmètres de sécurité alimentaire ». C’est une idée d’Emmanuel Bailly développée dans le livre « Terre d’avenir » de Philippe Desbrosses, préface d’Edgar Morin, et aussi dans le film Solutions locales pour un désordre global.
- ADOPTER la politique alimentaire populaire canadienne construite par une consultation de 3500 personnes et organismes, menée par Sécurité Alimentaire Canada, quitte à y mettre un grain de sel local; LA FAIRE ADOPTER par le gouvernement municipal, provincial et fédéral; contribuer au PASSAGE de l’agriculture à base pétrolière et d’OGM centralisée et fragile où on ne sait pas ce qu’on mange, à une agriculture de proximité post- pétrolière et post- OGM.
- Dans cette politique alimentaire, Olivier de Shutter, rapporteur aux Nations Unies sur le thème de la souveraineté alimentaire, propose l’agroécologie comme meilleure méthode pour nourrir les 9 milliards d’humains qu’il y aura bientôt. Je propose une ÉCOLE D’AGROÉCOLOGIE dans notre région, s’inspirant des principes et de l’expérience de l’agroécologiste et écrivain Pierre Rabhi, qui a enseigné à Gorom Gorom au Burkina Faso. La ville de Beloeil entretien des relations d’entraide avec le Burkina Faso et pourrait servir de lien pour créer cette école ici, à laquelle pourraient se greffer la permaculture locale et la Métaierie de Longueuil s’ils le désirent. Cette école serait pour tout le monde qui souhaite s’informer et serait décentralisée.
- Créer un CONSEIL RÉGIONAL POUR UNE POLITIQUE ALIMENTAIRE , qui tient compte de l’interface, de la transversalité alimentation-énergie. Il y a un Toronto et un Vancouver Food Council, mais pas un Conseil pour une politique alimentaire montréalais ou métropolitain.
- CONSTRUIRE UNE « Ferme visionnaire », qui produit de la nourriture et de l’énergie. On peut y ajouter un restaurant, une auberge, un centre de santé post- pétrolier, un centre d’étude et de pratique de communication non-violente. ( Pierre Rabhi dit : On pourrait bien tous être bios et solaire, on pourrait quand même exploiter notre prochain. Il y un enseignement de « l’écologie relationnelle » dans une ferme d’enseignement de sa pensée agroécologiste en France. ) La ferme visionnaire ferme est expliquée dans le site Internet : Institute of science in society à l’item « Dream Farm. ( traduit). Il y a des possibilités en campagne et en ville. Ce type de ferme est une illustration de l’économie circulaire sur le plan de l’agriculture où les déchets d’une section servent de ressource pour une autre.
- Faire une COOPÉRATIVE D’ÉNERGIES, peut être en s’inspirant des idées d’économie bleue que le groupe ZÉRI ( zéro emissions research and initiatives) explique sur son site Internet ou à l’émission TED accessible sur Internet. Par exemple il y a la possibilité d’incorporer des éoliennes dans des pylônes existants ou choisir des panneaux solaires à double face avec miroir , installés sur des terrains infertiles, vagues, etc.
- IMPLIQUER LA SANTÉ PUBLIQUE, pour qu’elle prenne conscience de la présence de pétrole dans les objets dont nous nous servons tous les jours et dans tous les domaines de la vie, incluant le système alimentaire. Pour qu’elle fasse aussi la promotion de l’adaptation viable et préventive au tarissement des réserves de pétrole.
- DEVENIR UNE VILLE OU UNE COMMUNAUTÉ EN TRANSITION, en joignant le mouvement des villes en transition. Localement, le site Internet Québecentransition que l’on retrouve comme lien sur le site www.villesentransition.net, permet le contact. Ce mouvement s’inspire de Rob Hobkins qui a écrit le livre : « Manuel de transition, de la dépendance au pétrole à la résilience locale », éditions écosociété. En octobre, un livre d’accompagment sera publié, qui développe l’idée des ingrédients s’ajoutant aux 12 étapes, suggérées dans le premier livre.
Je vous remercie de votre attention,
C
- ADOPTER la politique alimentaire populaire canadienne construite par une consultation de 3500 personnes et organismes, menée par Sécurité Alimentaire Canada, quitte à y mettre un grain de sel local; LA FAIRE ADOPTER par le gouvernement municipal, provincial et fédéral; contribuer au PASSAGE de l’agriculture à base pétrolière et d’OGM centralisée et fragile où on ne sait pas ce qu’on mange, à une agriculture de proximité post- pétrolière et post- OGM.
- Dans cette politique alimentaire, Olivier de Shutter, rapporteur aux Nations Unies sur le thème de la souveraineté alimentaire, propose l’agroécologie comme meilleure méthode pour nourrir les 9 milliards d’humains qu’il y aura bientôt. Je propose une ÉCOLE D’AGROÉCOLOGIE dans notre région, s’inspirant des principes et de l’expérience de l’agroécologiste et écrivain Pierre Rabhi, qui a enseigné à Gorom Gorom au Burkina Faso. La ville de Beloeil entretien des relations d’entraide avec le Burkina Faso et pourrait servir de lien pour créer cette école ici, à laquelle pourraient se greffer la permaculture locale et la Métaierie de Longueuil s’ils le désirent. Cette école serait pour tout le monde qui souhaite s’informer et serait décentralisée.
- Créer un CONSEIL RÉGIONAL POUR UNE POLITIQUE ALIMENTAIRE , qui tient compte de l’interface, de la transversalité alimentation-énergie. Il y a un Toronto et un Vancouver Food Council, mais pas un Conseil pour une politique alimentaire montréalais ou métropolitain.
- CONSTRUIRE UNE « Ferme visionnaire », qui produit de la nourriture et de l’énergie. On peut y ajouter un restaurant, une auberge, un centre de santé post- pétrolier, un centre d’étude et de pratique de communication non-violente. ( Pierre Rabhi dit : On pourrait bien tous être bios et solaire, on pourrait quand même exploiter notre prochain. Il y un enseignement de « l’écologie relationnelle » dans une ferme d’enseignement de sa pensée agroécologiste en France. ) La ferme visionnaire ferme est expliquée dans le site Internet : Institute of science in society à l’item « Dream Farm. ( traduit). Il y a des possibilités en campagne et en ville. Ce type de ferme est une illustration de l’économie circulaire sur le plan de l’agriculture où les déchets d’une section servent de ressource pour une autre.
- Faire une COOPÉRATIVE D’ÉNERGIES, peut être en s’inspirant des idées d’économie bleue que le groupe ZÉRI ( zéro emissions research and initiatives) explique sur son site Internet ou à l’émission TED accessible sur Internet. Par exemple il y a la possibilité d’incorporer des éoliennes dans des pylônes existants ou choisir des panneaux solaires à double face avec miroir , installés sur des terrains infertiles, vagues, etc.
- IMPLIQUER LA SANTÉ PUBLIQUE, pour qu’elle prenne conscience de la présence de pétrole dans les objets dont nous nous servons tous les jours et dans tous les domaines de la vie, incluant le système alimentaire. Pour qu’elle fasse aussi la promotion de l’adaptation viable et préventive au tarissement des réserves de pétrole.
- DEVENIR UNE VILLE OU UNE COMMUNAUTÉ EN TRANSITION, en joignant le mouvement des villes en transition. Localement, le site Internet Québecentransition que l’on retrouve comme lien sur le site www.villesentransition.net, permet le contact. Ce mouvement s’inspire de Rob Hobkins qui a écrit le livre : « Manuel de transition, de la dépendance au pétrole à la résilience locale », éditions écosociété. En octobre, un livre d’accompagment sera publié, qui développe l’idée des ingrédients s’ajoutant aux 12 étapes, suggérées dans le premier livre.
Je vous remercie de votre attention,
C
lundi 5 septembre 2011
une méthode d'agriculture urbaine payante et écologique: SPIN
Spin farming signifie: small plot intensive ) culture sur de petits espaces.
http://transitionculture.org/2011/09/05/spin-farming-basics-a-book-review/
http://transitionculture.org/2011/09/05/spin-farming-basics-a-book-review/
vendredi 2 septembre 2011
Pour une politique étendue de l'alimentation
http://peoplesfoodpolicy.ca/fr/policy/une-politique-alimentaire-populaire
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